Le refuge

Le temps avait passé... très lentement.

Le refuge était fin prêt : lorsqu'il avait été détruit dans l'attaque, un étranger avait payé pour le faire reconstruire. Cela prit 4 mois avant que tout soit comme neuf, même plus grand qu'avant.
Claudia avait mit la main à la pâte afin de retrouver toutes ces jeunes veuves et les orphelins qui s'étaient réfugiés un peu partout dans la cité. Plusieurs d'entre eux furent tués, les plus vieux recrutés par des bandes de mercenaires et les femmes avaient quitté la cité pour les villages voisins. Pourtant, les pauvres et les opprimés ne manquaient pas dans la cité. Cela prit une demi journée avant que le refuge ne soit à pleine capacité.

Matin et soir, elle travaillait sans relâche afin de trouver vivres, vêtements et parfois une chance pour une de ses pensionnaires de trouver du travail. La seule chose qui lui donnait le courage de continuer, c'était le sourire et la gaieté de ceux à qui elle redonnait la dignité.
Elle avait de la chance : Claus, un ami de longue date, l'aidait à tous les jours. Depuis son ascension au panthéon des héros de la cité, alors qu'il avait terrassé un démon à lui seul, il avait préféré rester profil bas. Sa blessure lui avait valu plusieurs mois de convalescence; malgré le fait qu'il n'aimait pas que quelqu'un s'occupe de lui, il avait fait confiance à Claudia et s'était presque totalement abandonné à elle. Il avait encore toute sa raison mais son corps n'avait plus la force qu'il avait. Le refuge était pour lui une façon de montrer qu'il n'était pas seulement un guerrier, mais aussi un homme au grand coeur.
Il sortait à l'occasion pour aider les gens du voisinage, préférant donner un soutient physique et moral plutot que d'aller chasser les roublards dans les collines. Il attendait patiemment que le Roi l'appelle à la cour lors de ses déplacement : c'était le seul moment où il décidait de revêtir ses vêtements de soldats et de partir.

Mon esprit est vide. Vide et aussi élancé que le vent. Cette personne qui m'a accrochée en passage.

Akir serra les poings et les décontractas.

N... N'y était pour rien, ce n'était qu'un accident... Un accident d'il y a maintenant 15 minutes, alors il n'y a rien à lui en vouloir, cela arrive à moi aussi de comettre des erreurs, des maladresses. Cette boue est facilement nettoyable, et d'ailleur, elle n'est même pas sèche.

Prenant un bout de chiffon, il se nettoyit le tout.

Et voila, comme neuve, et cette incident est loin maintenant, de temps et d'espace.

Voyant les orphelins vivrent et courrir en tous sens, s'amusant, Akir ne put se repprocher un sourrir qu'il lui appèsit l'esprit.

Ils sont bien, comme lorsque mon ancêtre eut libéré les enfants d'antant de cet Éviscérateur, ils sont sans parents, mais pas sans vie.

La vue des jeunes enfants lui donna un brin de bonheur.

- Hm! Hm! , Sourit-il

Tout autour, le brouhaha du marché résonne; beaucoup de gens se promènent autour de lui, affairés dans leur besognes quotidiennes.
Deux des enfants se retournèrent pour regarder Akir. La vue d'un de sa race était pour eux quelque chose de nouveau, bien que l'un des jeunes enfant semble avoir la couleur de peau des Meanad. Hésitants, l'un des jeune approche l'homme et le regarde, hypnotisé.
Au loin, une jeune femme d'a peu près 20 ans à la longue chevelure blonde s'approche de l'endroit. Elle porte sur sa hanche un lourd panier rempli à craquer de toutes sortes de fruits et légumes colorés.
Elle fit un sourire à Akir. Ses yeux d'un vert émeraude ne parut que lorsqu'elle fut suffisament près, l'ombre de son chapeau de paille attenuant leur lueur. Elle s'arrête tout près d'Akir

- Bonjour monsieur. Cherchez vous quelque chose?

- Non.

Je n'ai pas cherché, j'ai trouvé.

Akir fit une douce révérance

- Merci, ces enfants sont beaux.

Et leur vie est belle. Ils seront fort, et si ils sortent de leur impasse monétaire, ils seront des élites qui n'auront peur.

- Ce travail est bien, tenez.

Akir tend ses dix pièces

- Investicement.

Lui fit un sourir

Claudia regarde Akir lui tendre des pièces.
Elle semble un peu troublée.

- Mais non, gardez les... Nous avons tout ce dont nous pourrions avoir besoin. Un investissement...

Elle regarde les enfants courrir devant le refuge. L'un d'entre eux trébucha dans une flaque de boue et se releva rapidement rejoindre les autres.
Elle se retourna vers Akir

- Leur bonheur est mon investissement. Le simple fait d'avoir pu leur rendre le sourire, cela est suffisant pour moi. Désirez vous rester à diner? Il y en aura suffisamment pour tout le monde.

Elle laissa Akir derrière, approchant les enfants. Le jeune homme détrempé s'arrêta net devant Claudia.

-Rentre te changer immédiatement, tu vas attraper froid..

Pourquoi a-t-elle refusé? Elle pourrait avoir plus grand édifice, plus d'aide, et plus de gens en demande d'aide...

Akir resta la, debout sa main tendu, même lorsqu'elle fut plus loin, perdu dans ses pensés.

- Mais...

Elle refuse mon don. Je... j'ai... Saleté de raciste. Non! ... je... Mais pourquoi elle n'accepte pas? Foutu monais. Foutu de monais! Elle dirige tout et ne laisse rien. Elle se fait croire honorable par le sang et la sueur versé, mais est si facilement corruptible. Ces dix pièces dans ma main sont faux! C'est de la fausseté. Elle ne crit que l'injustice haut et fort. C'est de la puissance et de la faiblesse. Je ne doit pas y être esclave. NON!

Les yeux exorbités fixait sa propre main, les dents serrés se découvraien, et dans un rugissement, il les lancit avec force sur le sol, et se retain de justesse pour ne pas commencer à tambouriner les pauvre pièces sur le sol à l'aide de son halebarde.

- RAH!

Le vide, le calme, doucement. Respire.

Akir pris longuement une respiration, et expira.

Bon. Je vais bien. Maintenant faut tout remettre en place.

- Désolé, mauvaise journée. Invitation accepté. Ces pièces sont tout de même à vous.

Akir pris soin de prendre le sujet de conversation sur l'argent, dans un coin de sa tête à ne plus se questionner.

Claudia se retourna d'un bon lorsqu'elle aperçu l'homme jeter ses pièces par terre. Un peu ébahie, elle ne comprenait pas du tout ce qui venait de se passer. Les Maenads lui étaient peu connus, elle ne les croyait pas si spontanés.

- Vous allez bien monsieur?

Le jeune garçon Maenad ramassa les pièces une par une avec grand soin. Il les plaça dans ce qui semblait être une poche cousue sur sa chemise et couru à l'intérieur du refuge. Claudia garda les yeux rivés sur le nouveau venu.

- Venez, entrez. Boire quelque chose vous fera du bien. Il fait très chaud en cette période de l'année.

Claudia laissa la porte ouverte derrière elle, invitant l'étranger à entrer.

- Merci

Il poussa la porte, en regardant le jeune garçon.

- Partage, hm?

Un vrai bon repas, cela fera certainement du bien à ce corps engourdis qu'est le mien.

Il cessa encore une fois, pour regarder l'intérieur de l'établissement.

Tout est neuf, biensure... Elle a de l'argent... le pourquoi de son refus sans doute.

Continu à suivre son hôte vers ce qui semble être le lieu de restauration.

En entrant dans la demeure, il y a un salon à la droite. De l'autre côté, une immense cuisine où est installée une table de bois pouvant accueillir au moins 25 personnes. Ce qui est du plus étonnant, c'est que la décoration de l'intérieur ne laisse pas comme impression que cet endroit est un véritable refuge, plutot une maison transformée. Malgré les rumeurs de sa reconstruction, quiconque a payé les rénovations dut être une personne bien en moyens.

Claudia déposa son panier dans la cuisine, tout près d'un comptoir.

-Asseyez vous, je vais vous servir quelque chose.

Des herbes fraiches pendaient près d'une fenêtre, laissant circuler des aromes frais comme le thym, la marjolaine et la sauge. Sur les étagères, plusieurs dizaines de bocaux tous étiquettés, contenant divers éléments résidaient bien à la vue de tous. Claudia sortit une bouteille de terre cuite de sous l'armoire et la déboucha. Elle en servi une choppe à Akir.

- Goûtez, vous ne serez pas déçu. Je l'ai fait moi même.

Le liquide dégageait un arôme fruité et frais. Quelques pétillements dû a la fermentation étaient perceptibles.
Les enfants entrèrent dans la pièce : Claudia leur servi de grands verres d'eau fraiche avec un zeste de citron. Ils repartirent aussitôt.
Essuyant ses main avec son tablier, la jeune femme reprit la conversation

- Au fait, je n'ai toujours pas su votre nom. Je m'appelle Claudia, je suis la tenancière de ce refuge.

- Akir Verimonde, descendant de Teris Verimonde, grand héro de notre peuple, et porteur de La Grande Divel.

Fait un mouvement de tête vers l'Halebarde

- Ensemble, mon ancêtre à mis fin au tourmance de mon peuple en les libérant du terrible Meradras, les libérants de la souffrance de l'esclavage.

Je devrais me taire, et manger avant que ce soit mangé par les mouches ou autre ayant une appétit plus féroce que la mienne en ce moment...

Mange avec appétit, appréciant le tout.

- Je vien des marais, aux las des montagnes. Mon peuple à rendu la nature habitable, et même, hospitalière. Je doute que le mot marais soit approprié maintenant.

- Et vous Claudia, parlez de vous.

Claudia se servit une choppe de son alcool et prit le temps de ranger la bouteille avant de s'asseoir. Elle prit une bonne gorgée.

- Je suis Claudia DeLioncourt. Mon père et ma mère étaient des marchands, tous deux de familles aisées qui ont pratiqué le commerce. Malheureusement, ils ont été tués lorsque j'étais très jeune. J'eus un mari aussi, un noble, fils du Vicompte de Ruder. Il est mort à la guerre avant même que nous ayions pu nous marier...

Elle fit une pause et prit une autre gorgée

- Je ne veut pas vous lasser avec d'anciennes histoires. Vous me paraissez un noble guerrier. Je ne peux pas dire que je connais beaucoup les votres, malheureusement. La contraite de vivre à l'intérieur des murs d'une cité...

A ce moment, un homme arriva dans la cuisine. De forte carrure, les cheveux en brosse, un visage amical aux traits sévères. Il salua les gens attablés

- Bonjour Claudia, Bonjour étranger.

Claudia sourit

- Bonjour Claus. Veux tu te joindre à nous

D'un mouvement de la tête, Claus déclina l'invitation de la jeune femme.

- J'ai quelques courses a faire. Quelque chose de haute importance. Je reviendrai plus tard; ne t'inquiète pas si c'est après le coucher du soleil.

La jeune femme fit un mouvement de la tête

-Prend soin de toi..

Il sortit. Claudia le regarda partir au travers de la fenêtre près d'elle. Elle revint rapidement à l'étranger.

-Pardonnez moi messire. Je me suis quelque peu éloignée dans mes pensées. Pour en revenir à ce que nous disions, cela somme les grandes lignes de ma vie. Qu'est-ce qui vous emmène à Redcratsever?

Ils détiennent la même sonorité dans leur début de nom.

- Votre frère?

- Je suis venu pour la Reine.

Et pour redonner gloire à ma famille. Je ne connaitrai pas la défaite, comme mes ancêtres ne l'on pas connu.

La noblesse de cause et la passion se lisait dans les yeux du jeune garson.

Claudia sourit à l'étranger.

- Non. C'est un ami de longue date. Il a toujours été la pour veiller sur moi depuis la mort de mon mari. Je crois que ces deux la étaient des cousins.. je ne saurais dire. Je n'ai pas assez connu ses liens familiaux pour m'avancer sur le sujet.

Elle termina tranquillement son breuvage avant de se lever. Elle emmena près d'elle son panier de vivre ainsi qu'un gros chaudron. Couteau à la main, elle commenca à peler et couper les légumes.

- Vous venez pour sauver la Reine? Dans ce cas, allez faire un tour à la caserne. Quelqu'un la bas pourrait surement vous aider. Depuis sa disparition, toute la cité est tenue au poing de fer par le Roi. Plus vite elle est sauve, plus vite nous allons pouvoir recommencer a vivre normalement. Tout ce que le peuple désire c'est un peu de tranquilité. Deux guerres et un coup d'état en moins de 20 ans...

La voix de Claudia prit un ton triste lorsqu'elle prononça sa phrase. Visiblement les évènements des dernières années furent marquants autant physiquement que psychologiquement.

La porte du refuge s’ouvre et un homme-loup y entre avec hésitation. Certains ont un regard curieux, d’autre ont peur et d’autre voudrait lyncher cette créature. Le canidérian regarde discrètement autour de lui et il voit la tenancière parler à un homme bleu portant une hallebarde. Personne ne savait ce qu’il préparait. Même l’hallebardier bleuté paraissait sur ces gardes. Il s’approche alors de la femme et dit d’une voix claire :

-Êtes-vous Claudia? J’ai quitté, il y a 10 jours de cela, mon village natale et je viens d’arriver à Redcratsever et je cherche à m’y installer. Je suis prêt à payer. J’ai besoin juste besoin d’un refuge pour quelques nuits et qu’on m’aide à me trouver une maison ou une chambre à louer. Pourriez-vous m’aider, car on me dit que vous êtes la bonne personne pour ça?

Merde, je dois quitter, tout devien trop sentimental, je risque te retomber...

- Mes condoléances.

Se lève de son siège à l'arrivé du nouveau venu.

- Hmmm, merci pour le gouté, je reviendrai vous voir. Je vous laisse avec cet homme en besoin.

Je vais profiter de cet arrivé pour partir de cet situation qui risque de dégénérer.

Fait ses salutations

Claudia sursaute à la vue du canidéran. L'un des jeunes enfants se mit à pleurer et couru vers la cuisine. La jeune femme salua poliement Akir avant de se retourner vers le canidéran.

- B.. Bonjour, oui je suis Claudia..

L'enfant se dirige directement sur Claudia, aggripant sa jupe. Elle s'empressa de le consoler.

- Si vous désirez louer une chambre pour quelques jours, il y a l'auberge de l'autre côté de la route. Je vous offrirai le gîte pour 2 ou 3 jours.. seulement, il ne reste de la place que dans le dortoir..

L'homme-loup parait peiner de voir l'enfant pleurer, mais rapidement, il continue la conversation avec la tenancière.

-Bah! Cela fait plusieurs jour que je dors à la belle étoile. Je vais surment rester un jour ou deux. Je vous donnerais une ou deux piècette.

El'cid se penche alors vers l'enfant. Il a maintenant l'air d'un chien adorable.

-Je ne mord pas, tu sais.

L'homme-loup ne sait pas si cela a rassurer l'enfant. "Mais bon", songea le magus-loup, "je ne suis pas ici pour me faire des amis". Et se leva et continua la conversation.

-Je m'appelle El'Cid Wolfar, je suis un magicien et comme vous le voyez, je suis aussi un canidérian. Mais mon sang loup me préserve de l'Instinct animal sauvage qu'on les autres types de canidérian. J'espère que cela vous rassura et vos enfants aussi. Bref, je vais me reposer, mais avant connaîtrez-vous quelqu'un qui pourrait engager un magicien. Puet-être y a-t-il un noble qui cherche des aventurier.Voyez-vous, je cherche à me faire un peu d'argent.

L'enfant était plus effrayé qu'autres choses. Les efforts pour le calmer ont été vains. Claudia le prit dans ses bras.

- Il y a toujours la caserne qui cherche des gens. Sinon vous pourriez porter une attention particulière au babillard devant l'auberge. Parfois certaines personnes recherchent des aventurier et donnent une bonne somme. Venez je vais vous montrer où vous logerez pour ces quelques jours.

Claudia ouvrit la marche vers une pièce du rez de chaussée dans laquelle plusieurs lits étaient installés. Au pied de chacun, un coffre en cèdre était disponible pour déposer ses effets.

- C'est ici. Je n'ai malheureusement plus de chambres fermées. Pour l'instant vous serez seul, j'espère que l'endroit vous accomodera.

L'enfant était resté immobile dans les bras de la jeune femme, se blotissant dans le revers du col de sa robe.

- Si vous avez faim, il reste un peu de soupe. Venez me voir à la cuisine lorsque vous serez installé, nous discuterons davantage. Je vais reconduire le petit à sa chambre..

La jeune femme quitta la pièce pour se diriger vers l'étage.

Pendant que Claudia reconduit l'enfant, le sorcier cria pour ce faire comprendre:

-je vais aller voir les annonces et je reviens dès que possible, car cette soupe me tente.

L'homme-Loup prit son bâton sortit du refuge fuyant à l'anglaise.

El'Cid revint aussitôt comme s'il n'avait jamais partit.

-Bon, je prendrais bien une soupe moi.

El'Cid entra dans la cuisine et s'assis tout simplement sur une chaisse. Il oberva un peu la pièce. Il prit son livre de sorcellerie et pris le temps d'étudier ses sortilèges en attendant son hôte. Cependant, il réfléchissait à la peine qu'il avait fait à l'enfant.

-Suis-je un monstre?, se demanda-t-il. Non, ce sont ces satanné minotaures les monstres. ils ont tuer mon père.

Il remarqua que c'est croc était à l'air libre. Montrer ses dent pour un humain est un signe de rire, mais pour les canidérians c'est un signe de colère.

-Je suis un homme-loup, se répéta-t-il, je suis calme contrairement à ces homme-renard ou homme-chien.

Peut-être que le loup en lui ne le préservait pas de la colère et du mal comme il le croyait. Les hommes-loups avaient la réputation d'être les sages de la race des canidérians. Il reprit alors son intention sur son livre en attendant Claudia

Claudia revint, peu de temps après. Elle fit mine de rien, préférant laisser le canidéran à sa lecture plutot que de le déranger. Elle lui servit un bol de soupe encore tiède du repas précédant.
Elle s'assied par la suite à la table pour continuer sa besogne.

L'après midi était plutot tranquille. Le silence planait dans la maison. Seuls les bruits de l'extérieur, tel un écho étouffé, étaient audibles.

Claudia répondit rapidement. La jeune femme sourit à Akir.

- Avez vous trouvé ce que vous cherchiez?
Elle lui fit signe d'entrer.

Une lampe a l'huile était allumée près du canidéran, la noirceur gagnant peu a peu les lieux. Le soleil n'était pas encore couché, sa lumière se réflétait d'un ton orangé sur les murs de l'étage, se projetant jusque dans la cage d'escalier.
La jeune femme prit un moment pour allumer un feu dans le poêle avant de répondre à ses invités, écoutant tout ce qu'ils avient à dire. Une fois la flamme forte, le chaudron fut déposé sur la surface; elle prit soin d'ajouter quelques herbes séchées et d'autres épices tirées d'une armoire à proximité.