La sérénade de l'arbre mort

Tout en coupant les arbres, le goblin chantonna.

Le bois, le bois le bois
Coupé a la tonne,
vendu aux cités connes,
le bois.

Pour lui, l'important n'était pas de ne pas se faire remarqué, car sa scie fesait autant de bruit que 100 hommes en intence discution. L'important était que ce bois se devait être transformé en truc sonnant et de valeur. Il ne se souciait même pas de qui ce bois pourrait bien offusqué de les voir rasé.

Dans sa gaiété, le gobelin réussit à couper l'arbre sur lequel il avait travaillé un petit moment. Celui ci s'écrasa au sol, accrochant au passage plusieurs branches et arbustes voisins. Une horde de moineaux s'échappa d'une cîme, pépitant bruyamment.
Le son de l'arbre qui s'écrasait retentit à nouveau, comme si un autre arbre derrière le gobelin venait de tomber. Pourtant, il n'y avait rien.
Un rire se fit entendre. Tout près. Snir ressentit une légère pression sur son épaule gauche.

.... Mais il n'y avait rien .....

Une silhouette apparut au loin, disparaissant en un clin d'oeil. Le rire retentit à nouveau. Le vent se leva; un vent du sud, plutot anormal. On pouvait entendre une chanson au travers de ce vent..

- ... Hé! Vous la bas! C'est pas drole! Cessez de rire! Je coupe pas assez vite? Je vais vous prouver que je peux couper comme le feu heu... brule le bois ghniaha!

Snir commenca découper le trouc longé au sol.

- Bweuheuheu, de la musique de bouseux. C'est attroce a mes oreilles. Pourquoi pas des cris d'agonie ou des bruit de zombie dancant. Et ce gazon me gratte les pieds... Mais n'inquiété personne, ce lieu équeurant deviendra bientot de vaste terrain luxueux emplit d'usine qui transformera ce bois en piécette! Et les créature en repas... TU AS COMPRIS TOI CELUI QUI RIT? EN REPAS!

La seule réponse que le goblin obtint fut le bruissement des feuilles au vent. Plus de rire ni de mélodie, seulement les feuilles et les branches craquant. La silhouette au loin semblait toujours être perceptible du coin de l'oeil, telle une illusion.
Des pas feutrés, perceptibles seulement pour ceux à l'ouïe fine, retentirent derrière lui. Cette fois, on aurait cru que la forêt se mettait de pair pour créer un dome de feuilles, cachant la lumière complètement. La brise revint, cette fois, du pollen scintillant tombait telle une légère pluie de printemps, couvrant une bonne partie de l'endroit.

- Hehue...

Le goblin se senti écrasé par tout ce qui se produit autour de lui

- Je reviendrai! Avec une armé tien! Et je cracherai sur chaque fleur et chaque écureil de cette endroit... et je pisserai sur le corps mort de vos lièvres et je les mangerai apres! VOUS ALLEZ VOIR!

Prenant ses jambes a son coup, il parti au mieu de son corps.

Tout au long de sa fuite, la forêt semblait se refermer sur lui tel un dôme de feuilles et de branches. Du coin de l'oeil, il aperçevait les silhouettes d'auparavant : cette fois elles prirent forme. Des dizaines de petites créatures aux ailes colorées, prenant couvert derrière des branches, regardaient le gobelin. Leur petit rire retentit encore dans le vent, cette fois plus clair et plus fort. Le pollen continuait à tomber du ciel, illuminant le haut du dôme. Le gobelin entendit clairement la phrase suivante, prononcée par une voix d'enfant

- Cours cours, sinon ce sera toi le repas..

- NOOOOOON! NON! PAS DU BLEU! DU ROUGE! DU JAUNE! AHHHHH! Vos rires font saignez mes oreilles, comme c'est affreux!

Snir espéra sortir de cette foret avant qu'il ne se fasse touché par trop de pollène... mentalement allergique.

- C'est dégoutant POEUAH! J'en ai plein dans les cheveux, et sur mon corp infame. Comment!? COMMENT!? VOUS RIEZ COMME DES BELETTES QUI CRÈVES! DOMMAGE QUE VOUS NE SENTIEZ PAS AUSSI BON BANDE DE FURET AILÉ!

Attiré par le bruit de rire Kamélia c'était tout de suite dirigé vers leur provenance, son étonnement fut grand quand elle vit les créature ailé qui épiait le gobelin. Sans prendre vraiment le temps de penser au conséquence, la jeune sombréique se mit a chanter d'une melodieuse et sinistres à la fois.

++Chant de corruptions++

Au fur et à mesure que la chanson continuer, ce que les gens aimé le plus se changea très lentement en une chose qu'il détestait et s'empirai au fur et à mesure du chant. Mais étrangement, si les personne apprécier le chant il ne se métait pas à le détesté. Kamélia, étant resté a couvert entre les arbres laissa libre cours à sa mélodie pour s'avourer l'effet que celle ci aurait sur les petite créature qui semblait s'amuser tant.

Lorsque retentit le chant de Kamélia, le vent se mit à souffler encore plus fort, le bruissement des feuilles devint quasi intolérable. On aurait dit qu'un orage était à l'horizon.
Derriere elle, la sombréique ressentit une présence soudaine. Les lierres jonchant le sol se mirent à virevolter dans les airs, essayant d'attraper Kamélia. Elle n'entendit qu'un chuchottement

- .. n'oublie pas que lorsqu'on lance le chant dans l'air, il peut nous tomber dessus...

Derrière elle une femme, mi plante mi humanoïde se leva. Ses cheveux étaient fait de feuilles, sa peau d'écorce et ses vêtements de plantes, comme si la verdure poussait a même son corps.

Kamélia entendant le bruit douloureux au oreille serra les dents mais sembler sourire en même temps. Lentement elle releva la tête et fixa les feuilles qui ondulait devant elle, son sourire s'estompé peu à peu. Elle n'avait jamais tenter de se libéré des liens. À quoi cela servirait t'il, sois ses liens s'enlèverait deux même, ou sinon quand elle aurai laissé s'échapper son dernier soupir. Le paysage qui s'offrait a elle était magnifique et rare fut les moment qu'elle y portait attention. Elle ferma délicatement les yeux et profita du calme environnant semblant se soucier a moitié de ce que disait la femme. Mais au fond d'elle, elle cherchait quoi répondre. C'était là la différence entre un humain et elle, de penser avant de parler. Après un moment de silence elle se mit a parler d'une voix neutre.

- L'ironie du sort, est que celle qui a voulu punir ceux qui s'amuser au dépend des autres et à son tour puni pour avoir tenter de punir. Mais bon… je ne crois nullement qu'un chant peu nous retomber dessus, car qu'il continue ou qu'il soit interrompue, les sentiment que l'on a ressenti après avoir écouter un chant ne s'estompe jamais , car au moindre refrain, au moindre air musicale lui ressemblant, il revient et ravive les émotions qu'on croyait disparu.

Comme si rien ne fût dit ou fait, elle rouvrit les yeux et se remit à fixer la nature, cette chose qui lui avait été arraché pendant si longtemps. Au fond d'elle elle commençait à espérer le moment de sa libération, elle détestait être retenu contre son gré, mais ne le laissé pas paraître pour ne pas inciter les autres a continuer.

- Mouahahaha! les fées s'entretues! Gloire à moi et mes prouesses de tout rendre à mon avantage!

Snir quitta enfin la forêt pour ensuite, lever le poing vers elle.


- JE ME VANGERAI, ARBRES STUPIDES! JE ME VAAAAAANGERAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIS!

Mais biensure, courrir sans regarder ou on va mène aux désastres. Et c'est la rivière qui intérompit sa course frénétique. PLOUF!

Sur la rive opposée, Snir remarqua un petit campement. Il avait rejoint l'orée de la forêt : franchir la rivière est le dernier obstacle. La forêt avait cessée de bouger derrière lui.

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Les lierres s'étaient retirées, acceptant la sombréique. Kamelia ressentit un vent familier, comme un retour à ses sources natales. L'énergie de la nature était apaisante, relaxante.
La femme avait disparu près d'un arbre, ne faisant qu'un avec le tronc . Sa silhouette se dessinait facilement lorsqu'on eut aperçu la forme originale de celle ci. Kamelia entendit des pas légers dans la direction opposée. Elle put apercevoir au loin une elferique marchant dans la forêt a quelques mètres.

Prenant son temps, Snir se glissa dans les eaux doucement. Il ne fallait pas non plus qu'il se tue en croyant les aiders en les avertisssants du danger de la foret... ou peut-etre même le contraire! Snir souriait a pleine dent, imaginant de pauvres voyageurs se faire triturer de maintent façon par les stupides fées. Lentement, il approcha du campement par la nage, et tenta de voir a qui il a à faire.

En approchant du campement, il aperçu des villageois affairés. Des hommes, mais aucune femme. Bucherons et charpentiers en majorité travaillent les arbres qu'ils coupent sans en perdre la moindre parcelle. Le centre de la ville est marqué par un petit altar de pierre sur lequel pousse un arbre d'environ 3 pieds de hauteur. Leur maisons sont faites de branches, de mousse et de feuillage. Les hommes sont en majorité humain, mais Snir remarque un férian et un canidéran parmis eux. Ils n'ont pas remarqué la présence du peau verte dans la rivière, trop occupés.

- Hoooooooooo! (plutot Blublublublublub! en langage bubulle dans l'eau)

Snir levit la tête hors de l'eau et parla à lui-meme.

- Ce doit être un genre d'arbre sacré, oui oui ouiiiiiiiiiiiiii. Ce doit être ce qui m'empêche de transformer cette forêt en piècettes, oui oui oui!

Il nagea lentement vers le récif, puis, avança subtilement vers une des cabanes (ou tente) de libre. Son plan était établit dans sa tête, comme si c'était la seule chose à faire de sa vie.

*Crack, qui pour descendre de la montagne des cieux avait préférer éviter de traverser la foret maudite, errait rageusement de l'autre coté du campement. Une chose était sure et certaine, il était de nouveau perdus!*

-Tourne a gauche apres le 1200 ieme pas suite a l'arbre gris trouer qui a une chouette dedans... Pourtant c'est pas difficile! harrr, si au moin il ne mesurait pas 2 pieds de plus que moi, j'aurait compter le meme nombre de pas...

*La doute envahis son esprit. Non pas que Crack aie déja connus l'étrange sentiment que les humains appelaient si souvent la peur. Mais de regarder la foret maudite, pleine de cette horrible, répugnante et innaceptable magie contre laquelle il était impuissant. Quel lacheté que d'abandonner les armes pour ne plus se confronter que par son savoir... c'est ridicule!
Un éclair lui traverse l'esprit soudainement:
Si les humains négocie avec la magie? Je ne pourrai pas negocier avec eux...
Chassant ce doute ridicule de son esprit d'une tape sur le coté de sa tête, il avise le campement qui fume un peu plus loin. L'envie lui prend soudainement d'aller y demander son chemin jusqu'a la grande tribu des redcratsever. Il hâte alors son lourd pas, vers le petit campement*

Snir fait son avance vers le campement. Un des bucheron tourna le coin de la tente et l'aperçu entrer à l'intérieur. Il le suivit

- Eh mon gars. C'est pas l'heure du roupillon, il faut travailler. Allez !

Il lui tendit la hache qu'il avait en main avant de partir. Snir pu aperçevoir une lueur dans les yeux du bucheron, quelque chose d'étrange en fait. Personne d'autre n'avait remarqué sa présence.

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Lorsque Crack s'approcha du campement, il aperçu lui aussi l'arbre sur l'altar en plein milieu. L'un des charpentiers travaillait à planer une planche avec un rabot lorsqu'il aperçu le minotaure. Il fut étonné, la frayeur se lisant dans ses yeux mais il l'aborda tout de même, voyant qu'il n'était pas hostile

- Bon... Bonjour étranger.. quel bon vent vous emène?

Tout était clair, les dieux approuvait ses démarche, et lui à même fournit l'équipement nécessaire à ses besoins! Snir prit la hache, comme une relique ou un artéfacte précieux.

- Oui! Oui bien sure! oui oui oui! Hahahaha!

Snir se retournit vers l'altar au centre. Il fit une douce révérance devant l'arbiceau sur l'altar, comme un fidèle serviteur devant un dieu. Puis il frappit l'arbre de toute sa force herculéenne de goblin. (Qui n'est quand même pas si minable que sa on s'entend... heh)

*Crack ne reconnait pas l'émotion sur le visage de l'inconnus. Il faut plaindre, le fait qu'il n'avasit jamais eu la chance de connaitre la peur. Sentiment, qui lui aura certainement été utile une ou deux fois dans sa vie.*

*Il plante donc ses deux pieds dans le sol, plante son marteau dans la terre meuble, et pointe le charpentier de sa grosse main, le doigt a quelques pousse du front de ce dernier.*

-Mon chemin Jusqu'a redcratsever! Je veut accomplir ma destinée!

*Tentant en vain de feindre l'émotion du charpentier, son facies se transforme plutot en une horrible grimace, les yeux froncés, la bouche pincée en cul de poule un aspirée vers l'interieur de ses proeminentes molaires. Biensur, son but ultime était de rendre le signe de bienvenue que lui avait présenter l'humain, ce qui ne semble malheureusement pas dans son domaine de compétences.*

L’homme qui tremblait leva le bras mécaniquement vert l'ouest pour pointer la direction au Monstre poilu qui lui faisait toute une grimace digne des plus monstrueuse créature.

" Pa..pa...pa...parla . Je je crois.. (Gloup) ...ne me manger pas!"

Lorsque la hache du gobelin se planta dans l'arbre celle-ci fut prise au piège. Bien ancré dans le tronc de l'arbre la tête de la hache était entrée profond mais avec une mauvaise inclinaison.

Le bûcheron lui...ne semblait simplement plus la. Soudainement l'arbre se mit a craquer et étrangement a bougé. Une de ses branches s’enroula autour de la hache avant de la dégager et de la lancer au loin en prenant tout un élan.

La hache fila a toute allure et efflora même le haut de la tête du Minotaure un peu plus loin. Crack a pu entendre un sifflement de métal qui a passer à une vitesse inouïe en haut de ses cornes. L'humain qui se trouvait face a la grande Bête tomba sur les fesses tellement il était surpris de l’objet qui était passer a grande vitesse devant lui.

La hache continua sont chemin et fini par disparaître quelque part dans la foret.

*Crack ouvre grand les yeux et se fige immobile dans l'air ambiant. Il ramene tranquillement la main qu'il pointait vers le paysan et vérifie en palpant doucement l'état de ses cornes, vérifiant l'exactitude de chaque centimetre carré. Il leve ensuite le regard vers le haut et cherche du regard la provenance de l'attaque*

*Commencant a grogner, et a taper du sabot, il empoigne sa masse et part en ligne droite, oubliant momentanéement la précense du paysan devant lui*

Snir vit bien l'arbrisseau n'était pas très normal. Mais il trouvait encore plus anormal la terre qui tremblait sous ses pieds. Voyant la grosse bête courrir vers l'amplacement où résidait ses pauvres petits pieds, il ne pouvais qu'écouter son coeur:''Court! Plonge! Vole! Disparait!''. Pris de panique, Snir figea... pendant un gros dixième de seconde avant de sauter derrière l'altar qui lui servit de cachette face à ce monstre assoiffé de sang... ou tout simplement d'eau ou de sa chaire en dépouille.

- Ha non! ha non!

Snir était courageux. Au lieu de se sauvé, il restait la... caché.

*Crack arrive les yeux injecté de sang pres du petit arbrisseau. Il piétine lourdement le sol en tournant en rond, Reniflant bruyament de longue coulée d'air à la recherche d'un relent, un son rauque et grave commence a vibrer. Chassant violement l'air de son nez. Il s'exclame :*

Immonde, Immonde odeur pas fraîche. Qui ose me défier? Qui ose affronté ma dignitée? J'ACCEPTE!

*Il baisse alors soudainement la tête et grogne en tapant du pied. Puis, charge de plein front de toute sa masse corporelle augmentée par l'energie de sa vitesse sur l'arbre. Persuader qu'il ferait sortir le défi*

*Crack s'énerve devant cet arbrisseau qui semble se dresser sur sa route. Il était hors de question que cet arbrisseau le derange lui! Dailleur, un bois qui voulait bien bouger par lui même lui serait certainement tres utile. Il recule donc de 10 mêtres, incline la tête cérémonieusement et charge de toute sa puissance une deuxieme fois. Cette fois si, tout son esprit, son être et sa stupiditée, le projette tête premiere contre l'arbre. Ce sera la mort de l'arbrisseau ou la mort pour le Minautore. Il n'y a pas asser de place sur cette terre pour cet arbrisseau et Crack.*

Dans un craquement sonore, Crack enfonce sa tête dans l'arbrisseau et semble soudainement continuer son chemin vers l'intérieur. De la poussière s'éleve de partout, des copeaux de bois virevoltant dans tout les sens. Quelques secondes, l'arbre disparait sous le nuage de brindille et repparait soudainement intact. Crack, par-contre n'est plus la...

(Desoler, mais je voulait pas passer le reste de ma vie a patienter. Bye bye, je part dans un autre post.)

*Voyant la victoire de l'arbre sur le minotaure, Snir eut grand besoin de battre en retraitre. Oubliant les humains, il prit pied de course vers la sortit de la foret*

- Non non non! La forêt est pustilenziel! Corruptionné! Non non non! Ma vangence sera terrible envers elle, oui oui oui!

*Il s'imaginait les faire tomber sur le sol, chaque craquement de branche lui donnant un étincelle de plaisir dans les yeux. Il était si dans la lune qu'une branche lui fouetta le visage brutalement.*

- Non! Non! Non! Mauvais, très mauvais!

*Ce coup fut de trop, c'était son destin maintenant*