Sous la protection d'un arbre

Comme le soleil se lassait de veiller sur le monde, la douceur de la nuit venait prendre sa place pour que l'astre céleste du jour puisse enfin se reposer.Le ciel devenait de lus en plus sombre laissant les couleur chaude de la fin du jour se faire remplacé par les couleurs plus froide et authoritaire de la nuit.Voyant la nuit poindre peu à peu une jeune elférique chercha son arbre protecteur.

Au loin, un grand saule pleureur abandonnait ces feuilles au gré du vent. La jeune elférique vit la son arbre protecteur. Sous la douce lumière de la nouvelle lune qui réflétait les couleur doré de sa chevelure, elle avanc¸a sans bruit espérant ne pa réveiller les créatures déjà endormie de la forêt.

Arriver sous l'abre convoité, elle s'assoya le dos droit ferma doucement ces yeux d'un bleu qui affrontait le ciel pour s'en allez voguer dans son monde de méditation.

Elle pris de grande respiration et laissa la nature lui caresser doucement la peau, elle laissa les odeurs du monde lui chatouiller les narines et elle écouta les son ambiant afin de pouvoir canliser toute l'énergie que la nature voulait bine lui donner afin dA'ller chercher son monde parfait, sa méditation. Elle fit appel à son gardien intérieur pour lui laisser ces tracas de la journée et prendre un peu de sa sagesse afin de pouvoir allez cherhcer un repos dont elle avait besoin.

Éranaë était sous le saule pleureur. Elle semblait des plus paisible. Un sourire aussi doux et chaud que les couleurs dont le ciel se parait, illuminait son visage encore perdu dans la méditation. Le jour pointait lentement à l'horizon presque infini des arbres.

Tranquilememt, la petite elférique ouvrit ces yeux bleu a peine avait il regarder un instant ce nouveua jour qu'ils étaient remplie d'une soif de connaissance et d'apprentissage. La jeune elférique se releva tranquilement et regarda autour d'elle. Elle voulait connaitre des gens voir de nouvelle chose, mais elle en savait par ou allez. le vent lui murmurait de douce chose a l'oreille mais elle en compreniat rien, le slil lui caressait les réponses mais elle ne savait interpréter sa chaleur. Elle se décida donc à regarder par ce qu'elle savait.

Elle fit une pettie réverence à la'rbre qui l'avait protéger. Elle regarfda attentivement le vent lui carsse les feuilles et tout aussi doucement que le vent. elle pris une brache dans ces mains, le saule pleureur portait bien son nom, la tristesse était toujours percebtible dans son essence même. c'étais peut-être là que toute la trsitesse de la nature ce rposait. Elle se jurait toujours D'un jour le découvrir.

+++ Elle caressa donc doucement les feuille de son saule pleureur, elle s'empraigan de chacunede sensation des feuilles, elel laissa glisser sa main doucement sur une branche puis sur l'écorce même, elle pouvais voir a travers l'Arbre, voir ce qu'il avait vu. certe seulement les les arbres autour et elle, mais elle voyait aussi la réponse de sa question. Personne mis a part elle se trouvais en ces lieu. Elle délaissa la trsitesse du saule pleurer et revint dnas ses propre sens a elle. Elle remercia le saul par une révérance et détourna le regard vers une direction qu'elle prit+++